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Faut-il être bon skieur pour faire du ski-joëring ?

La France regorge de reliefs montagneux très convoités par les amateurs de skis en tout genre. Ces disciplines n’ont plus aucun secret pour eux. En effet, chaque hiver, des milliers de touristes dévalent les pistes enneigées avec le sourire. Mais, connaissent-ils le ski-joëring ? C’est une discipline encore peu connue mais pourtant particulièrement ludique et accessible.

À la découverte du ski-joëring

Le ski-joëring est une discipline originaire de Scandinavie qui s’étend progressivement en plein cœur des Alpes depuis les 20 dernières années. Cette pratique consiste à se faire tracter par un poney ou un cheval dans la neige. Elle remplaçait à l’époque les remontées mécaniques.

Les habitants des petits villages montagnards profitaient de la puissance de ces bêtes pour monter au sommet des pistes. Avant tout utilisé de manière utilitaire lors de son invention, le ski-joëring se popularise au fil du temps et devient une discipline aux Jeux Olympiques en 1928.

Une pratique accessible à tous

Le ski-joëring est très semblable au téléski : il suffit de s’y accrocher et de se laisser embarquer. Cela ne demande pas de réelles compétences, juste une bonne pratique du ski alpin. Il faut simplement connaître quelques règles de sécurité pour que la pratique se déroule au mieux.

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Si la personne chute, elle doit absolument tout lâcher pour ne pas risquer de se blesser. De plus, les skis utilisés sont des skis patinettes, bien plus petits que les skis habituels, afin de ne pas gêner le cheval. Le freinage est maîtrisé par l’encadrant qui tient l’animal par le licol et qui lui ordonne de ralentir lorsque cela est nécessaire.

Pour les débutants en matière de ski-joëring, un baptême est recommandé. Vous serez accompagné d’un encadrant qui guidera le cheval. Dès que vous êtes à l’aise, vous pourrez partir à la conquête des parcours adaptés.

Une discipline physique

Aussi étonnant que cela puisse paraître, les courbatures aux bras ne vous échapperont pas. Effectivement, bien que les skis soient à vos pieds, les bras sont sollicités en permanence lors de la traction. C’est également une activité physique pour l’encadrant qui doit maintenir le poney : il est donc constamment baissé, ce qui sollicite beaucoup le dos. Cependant, ces petits désagréments sont vite oubliés grâce au côté convivial et chaleureux de la pratique. De toutes nouvelles sensations sont ressenties : une impression de légèreté et une vitesse grandement appréciée.

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La place du cheval dans le ski-joëring

Pour que la pratique se passe au mieux, le cheval doit s’habituer aux bruits des skis et à tracter une personne au niveau de son cou. C’est une habitude à prendre pour l’animal : l’essentiel est d’aller à son rythme sans le brusquer. Ainsi, le temps d’adaptation dépend du cheval.

Autant que le skieur, l’animal doit prendre du plaisir : une symbiose doit s’installer entre le cheval et le skieur. Par conséquent, il est nécessaire de prendre soin de l’animal et d’être à son écoute. De plus, le cheval n’est pas ferré pour pratiquer cette discipline. Cela lui évite de glisser, et donc de se blesser.

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